André Bressin

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Auguste André Bressin
Huile sur toile signée et datée d'A. Bressin.
Naissance
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Le Havre (France)
Décès
(à 40 ans)
(Suisse)
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Peintre
Maître
Thomas Couture

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

André Bressin, né au Havre le et mort le en Suisse[1], est un peintre animalier français, célèbre pour ses peintures de chevaux de course et jockeys.

Biographie

André Bressin épouse le à Levallois-Perret[2], Jane Briançon de Gimat, fille, du capitaine de cavalerie en retraite; chevalier de la Légion d'honneur, et de Mme Briançon de Gimat. La mariée, nièce d'Adolphe Adam, le célèbre compositeur, est la petite-fille du colonel de Gimat, aide de camp de La Fayette, gouverneur de Sainte-Lucie, et, par sa mère, la petite-fille du colonel Génot, chevalier de Saint-Louis[3].

Son épouse décède le à Vevey en Suisse[4].

Il décède en Suisse des suites de la grippe en [5].

L'œuvre

Peintre français mal connu de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, sa notoriété s'est construite autour de son œuvre figurative de cavaliers, dans des sujets principalement sportifs (courses hippiques). Il se spécialisa dans la peinture de chevaux, dans des portraits ou dans des scènes de genre. On reconnait d'ailleurs, dans la facture rugueuse qui sait rendre la matière, la dette de l'artiste à son maître Thomas Couture, bien que ses compositions s'inspirent d'Alfred de Dreux, de Henri Auguste d'Ainecy Montpezat (1817–1859), de John Frederick Herring Sr. (en) et surtout John Frederick Herring Jr. (en)[6]. Bressin fait partie de ces nombreux peintres du XIXe, à commencer par Géricault, qui ont consacré leur art au cheval. Il fut notamment assistant professeur de dessin à l'École du Haras du Pin et y réalisa de nombreux portraits des étalons nationaux. Très connu dans le monde sportif, il exposait chaque année, au salon du Concours hippique, des portraits de chevaux de courses qui avaient fait apprécier son talent par les propriétaires éleveurs et les connaisseurs[5].

Collections publiques

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Notes et références

  1. Journal La Croix du 18 décembre 1918 sur le site Gallica de la BnF
  2. Archives départementales des Hauts-de-Seine Acte de mariage no 59, vue 44 / 361
  3. Journal Le Figaro du 24 février 1902 sur le site Gallica de la BnF
  4. Journal Excelsior du 29 janvier 1915 sur le site Gallica de la BnF
  5. a et b Journal Le Figaro du 17 décembre 1918 sur le site Gallica de la BnF
  6. Auguste Bressin sur Opus Mirabilis

Liens externes

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