Rue Notre-Dame-des-Champs

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6e arrt
Rue Notre-Dame-des-Champs
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Situation
Arrondissement 6e
Quartier Notre-Dame-des-Champs
Début 125, rue de Rennes
Fin 18, avenue de l'Observatoire
Morphologie
Longueur 1 010 m
Largeur 11,70 m
Historique
Création XIVe siècle
Ancien nom Chemin Herbu
rue du Barc
chemin de Coupe Gorge (1670)
rue Neuve Notre-Dame des Champs
rue de la Montagne des Champs.
Géocodification
Ville de Paris 6779
DGI 6838
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Notre-Dame-des-Champs
Rue Notre-Dame-des-Champs
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Rue Notre-Dame-des-Champs
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La rue Notre-Dame-des-Champs est une rue du 6e arrondissement de Paris, qui commence rue de Vaugirard (face à la rue du Regard) et se termine avenue de l'Observatoire.

Situation et accès

Longue d'un peu plus d'un kilomètre, cette voie traverse le 6e arrondissement de Paris, d'ouest en est, de la rue de Rennes à l'avenue de l'Observatoire. Son tracé conserve la sinuosité du chemin agricole qu'elle était.

La rue est desservie, au nord, par la ligne de métro 12 à la station Notre-Dame-des-Champs.

Origine du nom

Cette rue tire son nom de l'ancienne chapelle Notre-Dame-des-Champs, devenue en 1604 le couvent des Carmélites du faubourg Saint-Jacques.

Historique

Plaque de la rue Notre-Dame-des-Champs se trouvant en carrière.
La rue Notre-Dame-des-Champs vers le carrefour avec la rue Vavin au début du XXe siècle.

La rue qui menait à la chapelle Notre-Dame-des-Champs (Beata Maria a Campis), depuis la rue de Vaugirard, était appelée le « chemin herbu », et longeait à peu près les jardins dits « du petit Luxembourg » et du couvent des Chartreux de Paris (aujourd'hui jardin du Luxembourg). On y accédait par la rue du Faubourg Saint-Jacques. Cette chapelle se trouvait presque en face du Val-de-Grâce, à l'emplacement des nos 13-15 de l'actuelle rue Pierre-Nicole, dans le 5e arrondissement. Cet édifice religieux, appelé alors « Notre-Dame-des-Vignes » remontant probablement à l'époque mérovingienne, fut confié au Xe siècle à des moines de l'abbaye de Marmoutier pour le desservir. Robert le Pieux fit reconstruire l'église et les moines s'y établirent définitivement en 1084, où ils fondèrent un prieuré, à la suite du don qui leur fut fait par Adam Paganus et Guy Lombard[1]. Le monastère fut reconstruit au XIIe siècle et subsista jusqu'au début du XVIIe siècle[2]. Le cartulaire de ce prieuré a disparu[3].

En 1604, il fut confié à la première communauté de carmélites fondée en France, sous le nom de « Carmel de l'Incarnation ». Cette communauté y demeura jusqu'à la Révolution française, époque où les bâtiments furent démolis[4].

Quand mademoiselle de La Vallière entra en 1675 [5] chez ces religieuses pour s'y appeler « sœur Louise », la rue prit ou reprit le nom de l'ancien prieuré, après n'avoir été pendant deux siècles qu'un chemin dit « Herbu », puis « rue du Barc[6] ». Jaillot, historien et géographe du XVIIIe siècle, émet l'hypothèse que la voie porta ce nom parce qu'elle était reliée par un tronçon dès alors disparu à la rue du Bac, qui porta également un temps le nom de « rue du Barc[7] ».

Cette rue passant au milieu des champs et des vignes situés au nord du Montparnasse figure sur le plan de Nicolas de Fer (1705) ; seuls sont lotis et construits les premiers numéros de la rue, c'est-à-dire du côté de la rue de Vaugirard (actuellement entre la rue de Rennes et la rue de Fleurus).

À l'entrée de la rue en effet, les Filles de la Mort s'établirent les premières, avec une chapelle sous l'invocation de sainte Thècle. À cette congrégation succéda la Communauté de mademoiselle Cossard, dite des « Filles du Saint-Esprit ». La fondatrice de cette institution avait prévu qu'en cas de suppression l'Hôpital-Général devint propriétaire de ses bâtiments, ce qui advint en 1707. Les frères des écoles chrétiennes y installèrent leur noviciat, la « maison de l'Enfant-Jésus », qui subsista jusqu'à la Révolution. Des bâtiments, plus rien ne reste depuis le percement de la rue de Rennes[réf. nécessaire].

Sous la Révolution, la rue portait le nom de « rue de la Montagne des Champs », afin de faire disparaître la mention religieuse tout en conservant la référence.

Au cours du XVIIe siècle furent édifiés plusieurs hôtels particuliers, proches de la ville mais situés en bordure de campagne. Plusieurs d'entre eux ont disparu : hôtel Traversaire (nos 42-46) détruit en 1850, hôtel Fleury (nos 48 à 58), détruit en 1847. Quelques-uns ont été conservés : hôtel Pons (nos 16-20)[8], hôtel de Montmorency-Laval (no 17)[8], hôtel de Mailly (no 20 bis)[9], hôtel Dulau (no 22)[10].

Lors de la création d'une nouvelle paroisse, du fait de l'extension démographique du quartier, une chapelle située rue de Rennes prit le nom de « Notre-Dame-des-Champs ». Elle fut démolie après la construction d'une église du même nom, rue du Montparnasse, en 1867.

  • La rue dans la première moitié du XIXe siècle, Petit atlas pittoresque.
    La rue dans la première moitié du XIXe siècle, Petit atlas pittoresque.
  • Aspect typique de cette rue (nos 20, 20 bis et 22).
    Aspect typique de cette rue (nos 20, 20 bis et 22).
  • Boutique début XXe siècle, au croisement avec la rue du Montparnasse.
    Boutique début XXe siècle, au croisement avec la rue du Montparnasse.
  • Balcons anciens et modernes (nos 82 et 80).
    Balcons anciens et modernes (nos 82 et 80).

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

No 17.
No 27 : ancienne maison de Victor Hugo avant sa destruction, en 1905.
Nos 70 et 70 bis.
  • No 16 : maison diocésaine Saint-Louis du Diocèse aux armées françaises.
  • No 17 : atelier Cognacq-Jay, lieu d’accueil pour les personnes malades du cancer[11]. D’un point de vue architectural, on peut remarquer la porte de style Louis-Philippe en plein cintre et les appuis de fenêtre en fer forgé au second étage[12].
  • No 19 : ancien petit séminaire, établissement d'enseignement secondaire catholique (jusqu'en 1914)[13].
    • emplacement d'une maison où réside Sainte-Beuve en 1830[14] ;
  • No 22 : collège Stanislas.
  • No 27 (anciennement no 11) : Victor Hugo y vécut d' à . Maison détruite en 1904 par le percement du boulevard Raspail[15],[16].
  • No 28 : le sculpteur Francis La Monaca y emménage en 1911[17].
Ernest Hemingway devant le 113, rue Notre-Dame-des-Champs en 1924.
Camille Claudel et Jessie Lipscomb dans leur atelier au 117, rue Notre-Dame-des-Champs, en 1887.
  • No 117 : en souterrain de cette parcelle se trouve un abri de défense passive datant de la Seconde Guerre mondiale. La communication avec l'immeuble est aujourd'hui obstruée mais l'accès par les carrières est toujours possible. Dans l'usage, il porte le nom d'« abri FACO », en référence à l'établissement d'enseignement qui occupe la surface depuis la fin des années 1970.
    Après le porche on trouve trois niveaux d’ateliers sur cour[12].
    • Camille Claudel y loue un atelier dès 1882 avec d'autres jeunes sculptrices de son âge, dont Jessie Lipscomb[63], qui est accueillie en pension dans l'appartement familial des Claudel, situé à quelques pas, au no 111 (voir ci-dessus) ;
    • la peintre Eugénie Salanson y réside de 1888 à 1912[64] ;
    • le peintre Bernard Mandeville y demeure[65] ;
    • le peintre Alfred Garcement (1842-1927) y habite en 1899[66].
  • No 128 (également 171, boulevard du Montparnasse et 20, avenue de l’Observatoire) : immeuble de rapport construit en 1903 par l’architecte F. Gayaudon. On y trouve le restaurant La Closerie des Lilas[12].
  • Place Pierre-Lafue

Emplacements non localisés

  • Façade du no 19 (ancien petit séminaire catholique).
    Façade du no 19 (ancien petit séminaire catholique).
  • Collège Stanislas, au no 22.
    Collège Stanislas, au no 22.
  • Le Lucernaire, au no 53.
    Le Lucernaire, au no 53.
  • Passage privé des nos 73-75.
    Passage privé des nos 73-75.
  • Façade du no 82.
    Façade du no 82.
  • Façade du no 82 (détail).
    Façade du no 82 (détail).
  • Immeuble du no 84 pendant sa construction.
    Immeuble du no 84 pendant sa construction.
  • Rez-de-chaussée de l'atelier du no 105.
    Rez-de-chaussée de l'atelier du no 105.
  • Entrée de l'École alsacienne, au no 109.
    Entrée de l'École alsacienne, au no 109.
  • Façade du no 125.
    Façade du no 125.

Plaques

  • Plaque au no 73.
    Plaque au no 73.
  • Plaque au no 83.
    Plaque au no 83.

Dans la littérature

Dans le deuxième épisode du roman L'Envers de l'histoire contemporaine par Honoré de Balzac, Godefroid est envoyé vers l'an 1839 par la société des Frères de la consolation dans une maison de la rue Notre-Dame-des-Champs qui donne sur le boulevard du Montparnasse, où loge la famille du Monsieur Bernard :

« Arrivé rue Notre-Dame-des-Champs, dans la partie aboutissant à la rue de l’Ouest[74], qui, ni l’une ni l’autre, n’étaient encore pavées à cette époque, il fut surpris de trouver de tels bourbiers dans un endroit si magnifique. On ne marchait alors que le long des enceintes en planches qui bordaient des jardins marécageux, ou le long des maisons, par d’étroits sentiers bientôt gagnés par des eaux stagnantes, qui les convertissaient en ruisseaux[75]. »

Dans Le Roi en jaune (1895) de Robert W. Chambers, l'une des nouvelles s'intitule La Rue Notre-Dame-des-Champs et débute ainsi :

« La rue n'est pas élégante, pas plus qu'elle n'est misérable. C'est une paria parmi les rues - une rue sans quartier. On considère généralement qu'elle s’étend en dehors du domaine de l'aristocratie avenue de l'Observatoire. Les étudiants du quartier Montparnasse la trouvent bourgeoise et refusent d'avoir affaire avec elle. Le Quartier latin, depuis le Luxembourg qui en constitue la frontière nord, méprise sa respectabilité et regarde défavorablement les étudiants bien habillés qui la fréquentent. Peu d'étrangers s'y rendent. À certains moments cependant, les étudiants du Quartier latin l'empruntent pour passer de la rue de Rennes au Bullier, mais en dehors d’eux, et des parents et tuteurs rendant leur visite hebdomadaire au couvent proche de la rue Vavin, la rue Notre-Dame-des-Champs est aussi calme que le boulevard de Passy. Sa portion la plus respectable est sans doute celle qui s'étend de la rue de la Grande-Chaumière à la rue Vavin ; c'est du moins la conclusion à laquelle était arrivé le révérend Joel Byram, tandis qu'il la parcourait en compagnie de Hastings[76]. »

Notes et références

  1. Jean Lebeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, vol. 1, p. 233.
  2. Félix de Rochegude, Promenades dans toutes les rues de Paris. Ve arr., 1910, p. 151.
  3. Cartulaire du prieuré Notre-Dame des Champs, dépendant de l'abbaye de Marmoutier (sine loc. (), non coté, original), in cartulR, Répertoire des cartulaires médiévaux et modernes, Paul Bertrand (dir.), Orléans, Institut de recherche et d'histoire des textes, 2006 (Ædilis, Publications scientifiques, 3).
  4. Cette communauté, réinstallée à Paris au XIXe siècle, existe toujours et vit dans un couvent portant le même nom, à Clamart Source.
  5. Saint-Simon, Mémoires, Paris, Librairie L. Hachette et Cie, 1864, tome 5, pp. 303-304.
  6. Charles Lefeuve, Histoire de Paris rue par rue, maison par maison, 1875. Notice écrite en 1862.
  7. Jean-Baptiste-Michel Renou de Chauvigné dit Jaillot, Recherches critiques, historiques et topographiques sur la ville de Paris, vol. 5, 1775, p. 72 du chapitre « Quartier du Luxembourg ». Lire en ligne.
  8. a et b Cet hôtel est déjà sur le plan de Turgot de 1739, et appartient aujourd'hui à une communauté religieuse.
  9. Plan de Paris par Maire, 1808.
  10. Cet hôtel a probablement été édifié en partie vers 1750, et appartient aujourd'hui au collège Stanislas.
  11. L'atelier Cognacq-Jay.
  12. a b c d et e Protections patrimoniales, 6e arrondissement, Ville de Paris, Règlement du PLU, tome 2, annexe VI, p. 153 à 219.
  13. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Éditions de minuit, 1972, 1985, 1991, 1997, etc. (1re éd. 1960), 1 476 p., 2 vol.  [détail des éditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117), t. 2, p. 188.
  14. Hortense Allart, Nouvelles Lettres à Sainte-Beuve, 1832-1864, Librairie Droz, 1965 (ISBN 9782600034739).
  15. Lucien Lambeau, « La maison de Victor Hugo, rue Notre-Dame-des-Champs », Procès-verbal de la Commission municipale du Vieux Paris sur Gallica, , p. 310-318.
  16. Andrée Jacob, Vie et histoire du VIe arrondissement, Éditions Hervas, 1986.
  17. [1] ; l'immeuble a été remplacé par l'ISEP.
  18. (de) Gerhard Finckh, Auguste Renoir und die Landschaft des Impressionismus, Von der Heydt-Museum, 2007, p. 188.
  19. Ambroise Vollard, Auguste Renoir, Éditions G. Crès et Cie, 1920, p. 63.
  20. Société des artistes français, Salon de 1865, Paris, 1865.
  21. Les adresses de Cézanne à Paris, La Société Paul Cezanne [sic].
  22. Le Lucernaire.
  23. a et b Revue des grands procès contemporains, volume 6, p. 528.
  24. « Historique », sur sion-paris.fr (consulté le ).
  25. « Historique collège-lycée Notre-Dame de Sion », sur sion-paris.fr (consulté le ).
  26. « Historique collège lycée Notre-Dame de Sion », Groupe scolaire Notre-Dame de Sion, Paris.
  27. « Sœur Emmanuelle, religieuse de Notre-Dame de Sion », sur www.notrehistoireavecmarie.com
  28. Ernest Fillonneau, Annuaire des Beaux-Arts. Première année 1861-1862, 1862.
  29. « Gustave Brion »
  30. Société des artistes français, Explication des ouvrages de peinture, sculpture…, p. 211, 1863.
  31. (en) J. J. Wilhelm, Ezra Pound in London and Paris, 1908-1925, p. 287, 2010.
  32. Encyclopædia Universalis, « CLAUDE CAHUN », sur Encyclopædia Universalis
  33. La Rédaction, « Claude Cahun : des photos marquantes, un combat singulier contre les stéréotypes », sur www.linternaute.com
  34. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, 1940.
  35. (en) John Saville, The Socialist Register, p. 13, 1974.
  36. a et b Pascal et France Payen-Appenzeller, Promenons-nous dans Paris. Île de la Cité, rive gauche, Éditions Princesse, 1980.
  37. « Le rôle de l’art français », Le Gaulois, 2 novembre 1917, sur RetroNews.
  38. Claude Autant-Lara, La Rage dans le cœur, H. Veyrier, 1984.
  39. Jacques Fabbri, Être saltimbanque, Robert Laffont, 1978.
  40. Brigitte Léal, Dictionnaire du cubisme, 2018.
  41. (en) Udhe, Index of historic collectors and dealers of cubism, Metropolitan Museum of Art, New York.
  42. (en) « John Singer Sargent and Madame X in Paris », American Girls Art Club in Paris… and Beyond, 6 mai 2012.
  43. David McCullough, Le Voyage à Paris : les Américains à l’école de la France, 2014.
  44. Almanach national : annuaire officiel de la République française, 1er janvier 1891, sur Gallica.
  45. Une plaque apposée sur la façade lui rend hommage.
  46. Jacqueline Gojard, « Biographie d’André Salmon », André Salmon poète de l’art vivant, Actes du colloque organisé par le laboratoire Babel, les 2-3-4 avril 2009 à Toulon et Sanary.
  47. Bertrand Dreyfus, Le guide du promeneur : 6e arrondissement, Paris, Parigramme, 1994, p. 243.
  48. (en) Author jonathan5485, « Elizabeth Jane Gardner – the resolute and tenacious artist. » Accès libre, sur my daily art display, (consulté le )
  49. Jean Lacoste, « Autour du Luxembourg, Romain Rolland à Paris », Cahier de Brèves,‎ (lire en ligne)
  50. « 82, rue Notre-Dame des Champs », sur pass-archi.eu.
  51. Voir la plaque apposée sur la façade.
  52. « Delécluse, Auguste », Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains.
  53. Isabelle Enaud-Lechien, James Whistler. Le peintre et le polémiste (1834-1903), ACR Éditions, coll. « Poche Couleur », 1995, p. 162.
  54. Scheede UM, Beckmann, éditions Hazan, p. 14.
  55. « Fernand Léger dans son atelier, 8, 6, rue Notre-Dame-des-Champs », 1937, photographie de Brassaï, collection particulière.
  56. Fernand Léger et la vérité optique, dossier de presse de l'exposition rétrospective au Centre Georges-Pompidou du 29 mai au 29 septembre 1997.
  57. a et b Marie-Ange Namy, « Marcel-Lenoir et la fresque » », InSitu. Revue des patrimoines, no 22, 2013.
  58. Biographie de Charles Champigneulle sur le site du musée de la Marine
  59. Catalogue de l'exposition française des Arts décoratifs ouverte le 8 février 1938 au Grand Palais du Caire (Égypte), p. 44. « Lire en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  60. Janet Souter, Camille Claudel, traduction de Marion Olivier, Parkstone International (ISBN 9781859951071), p. 19. Lire en ligne.
  61. Claude Perez, Paul Claudel : « Je suis le contradictoire », Les Editions du Cerf, Paris, 2021.
  62. « Hemingway's Paris », nytimes.com, 2006.
  63. Page du site du musée Rodin.
  64. « Annuaire des châteaux et des départements ».
  65. Comparaisons 1978, p. 104, 1978.
  66. Société des amis des arts de Seine-et-Oise, « Description des œuvres… exposées au palais de Versailles en 1899 », Versailles, 1899.
  67. Dominique Bona, Berthe Morisot, 2019.
  68. Louis-Marie Lécharny, L’Art pompier, 1998.
  69. Selon les uns, l’atelier se trouvait au no  49 de la rue, selon les autres au no  53 ou au no  73.
  70. Jean-Louis Robert, Plaisance près Montparnasse. Quartier parisien 1840-1985, Paris, 2012, Publications de la Sorbonne (ISBN 978-2-85944-716-8).
  71. Collectif, Un Noël en septembre, catalogue de l'Exposition pour les Journées européennes du patrimoine, 17, 18 et 19 septembre 2010 en l'église Saint-Pierre-du-Mont. Organisée par la Commission d'art sacré des Landes, diocèse d'Aire et Dax.
  72. « Le Centre Quaker à Paris », sur quakersenfrance.org (consulté le ).
  73. Michel Laffitte, « L'UGIF, collaboration ou résistance ? », in Revue d'histoire de la Shoah, 2006/2, no 185, p. 45-64 (en ligne).
  74. L'actuelle rue d'Assas.
  75. Honoré de Balzac, L'Envers de l'histoire contemporaine, t. VIII : La Comédie humaine, Éditions Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », (ISBN 2-07-010866-X), p. 319.
  76. Chambers, Robert William, (1865-1933). (trad. de l'anglais), Le roi en jaune : nouvelles, Paris, Librairie générale française, impr. 2014, cop. 2014, 381 p. (ISBN 978-2-253-18400-3 et 2253184004, OCLC 908239957, lire en ligne)

Annexes

Liens externes

  • « Immeuble, 19, rue Notre-Dame-des-Champs, 6e arrondissement, Paris (photo de janvier 1903) », Paris Musées.
  • Henri Chapelle, « Le petit séminaire, 19, rue Notre-Dame-des-Champs (dessin de 1906) », Paris Musées.
  • Thérèse Bonney, « Le peintre Fernand Léger (au centre) dans son atelier au no 86 en 1930 », Bibliothèques patrimoniales de Paris.
  • Edmond Bénard (attribué à), « William Bouguereau dans son atelier à Paris, avec un modèle prenant la pose (entre 1880 et 1900) », Bibliothèques patrimoniales de Paris.
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