Sallertaine

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Sallertaine
Sallertaine
Les deux églises.
Blason de Sallertaine
Blason
Sallertaine
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Les Sables-d'Olonne
Intercommunalité Communauté de communes Challans-Gois Communauté
Maire
Mandat
Jean-Luc Menuet
2020-2026
Code postal 85300
Code commune 85280
Démographie
Gentilé Sallertainois
Population
municipale
3 265 hab. (2021 en augmentation de 7,54 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 51′ 38″ nord, 1° 57′ 21″ ouest
Altitude m
Min. 0 m
Max. 18 m
Superficie 49,76 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Challans
(banlieue)
Aire d'attraction Challans
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Challans
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sallertaine
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Sallertaine
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Sallertaine
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Sallertaine
Liens
Site web Site officiel
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Sallertaine est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

Ses habitants sont appelés les Sallertainois.

Géographie

Le territoire municipal de Sallertaine s'étend sur 4 976 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 6 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 18 mètres[1],[2].

Construit sur un îlot calcaire, Sallertaine est un bourg de fondation très ancienne dont le nom garderait le souvenir des marais salants qui l'entouraient jadis. Il domine le marais, vaste étendue sillonnée de part et d'autre de multiples canaux.

Communes limitrophes de Sallertaine
Saint-Urbain Saint-Gervais Châteauneuf
La Barre-de-Monts Sallertaine La Garnache
Saint-Jean-de-Monts Le Perrier Challans

Climat

Pour des articles plus généraux, voir Climat des Pays de la Loire et Climat de la Vendée.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 757 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune du Perrier à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 762,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

Typologie

Sallertaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Challans, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[12] et 27 942 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Challans dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,7 %), zones agricoles hétérogènes (24,3 %), terres arables (18,8 %), zones urbanisées (4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

Préalablement à la construction d'un lotissement, le service régional de l'archéologie des Pays de la Loire a prescrit un diagnostic archéologique, réalisé en décembre 2007 sous la direction de Jean-Yves Langlois de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP). Ce travail, réalisé au lieu-dit de la Caillaudière, a révélé une occupation gallo-romaine. L'aménageur bénéficiant du fonds national d'archéologie préventive (FNAP), une fouille archéologique a eu lieu d' à août 2009 sous la responsabilité de Marie-Claude Bakkal-Lagarde, ingénieur de recherches de l'INRAP[18]. L'emprise d'environ un demi-hectare était pour partie composée de terre noire nécessitant la mise en œuvre de techniques peu usitées pour l'époque antique mais bien connue des préhistoriens (notamment relevé 3D de tous les artefacts). Les recherches révélèrent la présence d'un quartier urbain du Haut-Empire qui s'étend au nord et à l'ouest. Le quartier fouillé se distingue des sites gallo-romains traditionnels par la présence de tuguria (tugurium au singulier). Ces unités d'habitation composées d'une pièce unique étaient réalisées en bois et torchis avec une couverture de chaume ou de roseau (ancêtre des bourrines ?). Les pièces étaient repérables par les solins de pierres (schiste et calcaire). Quelque trois mille clous, souvent en relation avec les solins, suggèrent un assemblage de planches pour la réalisation des parois. Une quinzaine de tuguria ont été localisées. Quatre possédaient un foyer composé d'une sole d'argile réalisée sur le sol. Sept disposaient d'un puits individuel (avec cuvelage en pierre sèche). Les puits et les pièces d'habitats s'organisent de part et d'autre de venelles qui aboutissent sur des voies empierrées de galets et graviers orientées est-ouest et nord-sud. Plusieurs périodes d'aménagement et réaménagement ont été pressenties lors de la fouille. L'étude du mobilier et les analyses de lames minces (micromorphologie) apportent des données plus précises. Le site a été occupé exclusivement pendant le Haut-Empire.

Aucun vestige de période antérieure ou postérieure n'a été découvert lors de la fouille de 2008-2009. Le mobilier archéologique est principalement constitué de fragments de poteries (plus de 60 000 tessons), céramique commune et sigillée et de faune (avec une forte représentation des ovicaprinés, puis les bovinés et très peu de suinés) (Ouest-France ). La céramique a révélé l'importance de l'axe ligérien dans les échanges économiques avec le Centre de la France.

Concernant le paléoenvironnement, ce quartier d'habitat du Haut-Empire était sur le littoral du marais breton-vendéen dont le colmatage était probablement amorcé. Aucune activité artisanale ne fut découverte dans ce quartier, suggérant que les habitants pouvaient avoir des activités en relation avec la rupture de charge des bateaux et des moyens terrestres. [3] [4] [5] [6] [7] [8]

Politique et administration

Liste des maires

Article connexe : Histoire des maires de France.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Liste des maires avant 1945
Période Identité Étiquette Qualité
Gabriel Cormier    
Joseph-François Boisselier    
Benjamin Cormier   Nommé maire
Jean Laidin   Nommé maire
Jean Daniau   Fermier
Nommé maire
Louis Simonneau   Nommé maire
Jean Souchet   Nommé maire
Louis Besseaux   Marchand
Nommé maire
Pierre Cocard    
[19]
(révocation)
Louis-Delphin Fradin    
Pierre Cocard   Ancien instituteur
Nommé maire

(décès)
Louis-Delphin Fradin   Régent
[20] Henri Fradin
Fils du précédent
   
Louis Crochet   Fermier
François Bocquier   Fermier
Jean Guittonneau   Fermier
Gustave Bocquier
Fils de François Bocquier
  Fermier

(décès)
Jean Guittonneau   Fermier
Alexandre Souchet   Fermier
Maire par intérim de septembre 1916 à décembre 1919

(décès)
Jean Caiveau   Forgeron

(décès)
Camille Fortin   Instituteur
Pierre Barreteau   Meunier
Fait fonction de maire[21]
Jean Barreteau   Agriculteur
Nommé maire
Source : Bulletin municipal 2001, site officiel de la commune [22] et Histoire des maires de Sallertaine [23]
 
Pierre Barreteau   Meunier
Réélu en 1947, 1953, 1959 et 1965
Émile Gaborit   Boucher
Réélu en 1977, 1983 et 1989
en cours Jean-Luc Menuet DVD Chef d’entreprise
5e vice-président de Challans-Gois-Communauté (2017 → )
Réélu en 2001, 2008, 2014 et 2020
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 3 265 habitants[Note 3], en augmentation de 7,54 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6031 6551 7072 0182 1772 1872 1892 1742 175
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2202 2212 2532 1922 3332 4292 4982 4892 456
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 4572 5222 5032 3262 3142 2532 2462 1501 910
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 8441 7842 0802 3252 2452 2352 6282 7402 864
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2018 2021 - - - - - - -
3 1293 265-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,9 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 574 hommes pour 1 555 femmes, soit un taux de 50,30 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,84 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,4 
8,5 
75-89 ans
8,7 
21,0 
60-74 ans
21,9 
20,3 
45-59 ans
20,6 
17,0 
30-44 ans
17,7 
13,5 
15-29 ans
12,5 
19,3 
0-14 ans
17,2 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,5 
75-89 ans
11 
20 
60-74 ans
20,8 
20 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
16,9 
14,9 
15-29 ans
13,2 
18,1 
0-14 ans
16,4 

Lieux et monuments

  • L'église Saint-Martin[30] du XIIe siècle, fleuron du patrimoine architectural du Nord Ouest vendéen, constitue une merveille de l'art roman angevin et témoigne de l'intérêt des lieux.
  • Une seconde église y a été construite et inaugurée en 1911.
  • Le moulin de Rairé fonctionne avec la force du vent, sans interruption, depuis 1560. Le moulin a un mécanisme traditionnel et fabrique de la farine de maïs, d'orge, d'avoine et de blé.
  • Église Saint-Martin.
    Église Saint-Martin.
  • Église Saint-Martin.
    Église Saint-Martin.
  • Seconde église Saint-Martin bâtie en 1910.
    Seconde église Saint-Martin bâtie en 1910.
  • Moulin de Rairé.
    Moulin de Rairé.
  • Moulin de Rairé.
    Moulin de Rairé.
  • Sortie de la messe.
    Sortie de la messe.
  • Entrée du village, route du Perrier.
    Entrée du village, route du Perrier.
  • La Fromentière du roman La terre qui meurt de René Bazin.
    La Fromentière du roman La terre qui meurt de René Bazin.
  • Place de la Vieille-Église.
    Place de la Vieille-Église.
  • Abside de la vieille église.
    Abside de la vieille église.
  • Vieille église.
    Vieille église.
  • Sortie de la messe.
    Sortie de la messe.
  • Calvaire.
    Calvaire.
  • Entrée du bourg.
    Entrée du bourg.
  • Route de la Gare.
    Route de la Gare.
  • Bourg.
    Bourg.
  • Nouvelle Église.
    Nouvelle Église.
  • Mairie.
    Mairie.
  • Moulin Arnaudeau.
    Moulin Arnaudeau.

Identité visuelle

Logotype

  • Ancien logotype.
    Ancien logotype.
  • Logotype actuel.
    Logotype actuel.

Par ailleurs, un des panneaux d'entrée de la commune arbore le nom de la cité utilisé en patois maraîchin local, Sertaïne, en dessous de l'appellation Sallertaine [16].

Héraldique

Blason de Sallertaine Blason
Tiercé en bande : au 1er d'or, au 2e d'azur à trois canards d'argent volant en bande, au 3e de sinople ; à la crosse au naturel chargeant, à senestre l'or et le sinople et disparaissant sous l'azur.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités et célébrités liées à la commune

Littérature

  • René Bazin en a fait le décor de son roman La Terre qui meurt. C'est en effet, à Mauny, qu'il situa le drame des Lumineau.
  • Henri Pitaud y est né en 1899.

Sports

  • Claude Moreau, ancien coureur cycliste professionnel de 1982 à 1984, y est né en 1958.
  • Idéal du Gazeau, trotteur français né en 1974 à Sallertaine, vainqueur notamment a deux reprises, en 1981 et 1983, du Prix d'Amérique.

Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. « Commune 31510 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « Sallertaine », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Sallertaine et Le Perrier », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Perrier », sur la commune du Perrier - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le Perrier », sur la commune du Perrier - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Challans », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d'habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Challans », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Une villa romaine découverte à Sallertaine » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  19. Il est révoqué par Napoléon III.
  20. Il est révoqué et le conseil municipal est dissous.
  21. Il élu maire le 4 mai 1944.
  22. [1]
  23. [2]
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sallertaine (85280) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
  30. Michel Dillange - Sallertaine. Ancienne église Saint-Martin - pp.109-112, dans Congrès archéologique de France. 151e session. Vendée. 1993 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1996

16. https://www.francebleu.fr/infos/culture-loisirs/un-panneau-en-patois-a-l-entree-de-sallertaine-pour-la-premiere-fois-en-vendee-1506618439 (consulté le ).

Pour approfondir

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Sallertaine, sur Wikimedia Commons
  • Site officiel de la commune
  • Sallertaine sur le site de l'Institut géographique national
  • Sallertaine sur le site de l'Insee
v · m
v · m
Plus de 20 000 habitants
De 3 500 à 10 000 habitants
Moins de 3 500 habitants
Classement par populations légales au
v · m
Unités et communes urbaines de la Vendée
Communes du département de la Vendée appartenant à des unités urbaines.
Plus de 50 000 habitants La Roche-sur-Yon (ville isolée)
Plus de 10 000 habitants
Plus de 5 000 habitants
Plus de 2 000 habitants
Classement par population municipale au et par zonage en unités urbaines de 2010 actualisé au par l’Insee.
v · m
Aires urbaines dans la Vendée
Communes du département de la Vendée appartenant à des aires urbaines.
Grandes
La Roche-sur-Yon
Pôle urbain La Roche-sur-Yon (ville isolée)
Unités urbaines
Communes rurales
Les Sables-d'Olonne
Pôle urbain Les Sables-d'Olonne (ville isolée)
Communes rurales
Saint-Hilaire-de-Riez
Pôle urbain
Communes rurales
Fontenay-le-Comte
Pôle urbain
Communes rurales
Challans
Pôle urbain
Les Herbiers
Pôle urbain Les Herbiers (ville isolée)
Communes rurales
La Rochelle
(Charente-Maritime)
Communes rurales
Niort
(Deux-Sèvres)
Unité urbaine Benet (ville isolée)
Communes rurales
Moyennes
Montaigu-Vendée
Pôle urbain Montaigu-Vendée (ville isolée)
Luçon
Pôle urbain Luçon (ville isolée)
Communes rurales
Petites
Saint-Jean-de-Monts
Pôle
Essarts-en-Bocage
Pôle Essarts-en-Bocage (ville isolée)
Chantonnay
Pôle Chantonnay (ville isolée)
Mortagne-sur-Sèvre
Pôle Mortagne-sur-Sèvre (ville isolée)
Pouzauges
Pôle Pouzauges (ville isolée)
L'Île-d'Yeu
Pôle L'Île-d'Yeu (ville isolée)
Noirmoutier-en-l'Île
Pôle Noirmoutier-en-l'Île (ville isolée)
Beauvoir-sur-Mer
Pôle Beauvoir-sur-Mer (ville isolée)
La Verrie
Pôle La Verrie (ville isolée)
La Bruffière
Pôle La Bruffière (ville isolée)
La Châtaigneraie
Pôle
Saint-Fulgent
Pôle Saint-Fulgent (ville isolée)
Saint-Laurent-sur-Sèvre
Pôle Saint-Laurent-sur-Sèvre (ville isolée)
Classement par population municipale au et par zonage en aires urbaines de 2010 actualisé au par l'Insee.
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