Pierre Méhaignerie

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Pierre Méhaignerie
Illustration.
Pierre Méhaignerie en 2011.
Fonctions
Maire de Vitré

(43 ans et 2 mois)
Prédécesseur René Crinon
Successeur Isabelle Le Callennec
Président de la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale

(2 ans, 11 mois et 24 jours)
Législature XIIIe (Cinquième République)
Prédécesseur Commission créée
Successeur Catherine Lemorton
Président de la commission des Affaires culturelles, familiales et sociales

(2 ans et 3 jours)
Législature XIIIe (Cinquième République)
Prédécesseur Jean-Michel Dubernard
Successeur Commission dissoute
Secrétaire général de l'UMP

(2 ans, 9 mois et 28 jours)
Prédécesseur Philippe Douste-Blazy
Successeur Patrick Devedjian
Président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale

(4 ans, 11 mois et 23 jours)
Législature XIIe (Cinquième République)
Prédécesseur Henri Emmanuelli
Successeur Didier Migaud

(1 an et 10 mois)
Législature Xe (Cinquième République)
Prédécesseur Jacques Barrot
Successeur Henri Emmanuelli
Ministre d'État
Garde des Sceaux, ministre de la Justice

(2 ans, 1 mois et 11 jours)
Président François Mitterrand
Premier ministre Édouard Balladur
Gouvernement Balladur
Prédécesseur Michel Vauzelle
Successeur Jacques Toubon
Ministre de l'Équipement, du Logement, de l'Aménagement du territoire et des Transports

(2 ans, 1 mois et 20 jours)
Président François Mitterrand
Premier ministre Jacques Chirac
Gouvernement Chirac II
Prédécesseur Jean Auroux
Successeur Louis Mermaz
Président du Conseil général d'Ille-et-Vilaine

(18 ans, 11 mois et 24 jours)
Prédécesseur François Le Douarec
Successeur Marie-Joseph Bissonnier
Ministre de l'Agriculture

(4 ans, 1 mois et 14 jours)
Président Valéry Giscard d'Estaing
Premier ministre Raymond Barre
Gouvernement Barre II et III
Prédécesseur Christian Bonnet
Successeur Édith Cresson
Député français

(17 ans)
Élection 19 juin 1995
Réélection 1er juin 1997
16 juin 2002
17 juin 2007
Circonscription 5e d'Ille-et-Vilaine
Législature Xe, XIe, XIIe et XIIIe (Cinquième République)
Groupe politique UDFC (1995-1997)
UDF (1997-2002)
UMP (2002-2012)
Prédécesseur Danielle Dufeu
Successeur Isabelle Le Callennec

(4 ans, 10 mois et 8 jours)
Élection 5 juin 1988
Réélection 21 mars 1993
Circonscription 5e d'Ille-et-Vilaine
Législature IXe et Xe (Cinquième République)
Groupe politique UDC (1988-1993)
UDFC (1993)
Prédécesseur Proportionnelle par département
Successeur Danielle Dufeu

(4 ans, 8 mois et 30 jours)
Élection 21 juin 1981
Réélection 16 mars 1986
Circonscription 3e d'Ille-et-Vilaine
Législature VIIe et VIIIe (Cinquième République)
Prédécesseur Maurice Drouet
Successeur René Couanau

(1 mois et 3 jours)
Élection 12 mars 1978
Circonscription 3e d'Ille-et-Vilaine
Législature VIe (Cinquième République)
Groupe politique UDF
Prédécesseur Maurice Drouet
Successeur Maurice Drouet

(2 ans, 10 mois et 11 jours)
Élection 4 mars 1973
Circonscription 3e d'Ille-et-Vilaine
Législature Ve (Cinquième République)
Groupe politique UC
Prédécesseur Henri Lassourd
Successeur Maurice Drouet
Biographie
Date de naissance (85 ans)
Lieu de naissance Balazé (Ille-et-Vilaine)
Nationalité française
Parti politique CD (1968-1976)
CDS (1976-1978)
UDF-CDS (1978-1995)
UDF-FD (1995-1998)
UDF (1998-2002)
UMP (2002-2012)
UDI (depuis 2012)
Père Alexis Méhaignerie
Mère Pauline Boursier
Conjoint Julie Harding
Profession Ingénieur du génie rural, des eaux et des forêts
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Pierre Méhaignerie, né le à Balazé (Ille-et-Vilaine), est un homme politique français. Il est notamment ministre d'État, garde des Sceaux, ministre de la Justice de 1993 à 1995, et maire de Vitré de 1977 à 2020.

Situation personnelle

Pierre Méhaignerie est le septième des huit enfants d'Alexis Méhaignerie, agriculteur, député MRP d'Ille-et-Vilaine de 1945 à 1968 et maire de Balazé de 1945 à 1976[1], et de Pauline Boursier, de Chaumeré. Son grand-père paternel Alexis Méhaignerie était conseiller général du canton de Vitré-Est et maire de Balazé[2].

Marié en 1965 à Julie Harding, une Américaine, il a deux enfants : Laurence et Daniel. C'est le cousin de Georges Garot, ancien député européen PS, l'oncle à la mode de Bretagne de Guillaume Garot, député-maire PS de Laval et ministre délégué à l'Agroalimentaire[3] et l'oncle du mari de Laurence Maillart-Méhaignerie, députée LREM d'Ille-et-Vilaine.

Ancien élève du lycée Saint-Vincent de Rennes, il est diplômé de l'École nationale supérieure agronomique de Rennes, dont il sort major. Il commence sa carrière à la coopération technique comme professeur en Tunisie. Ingénieur du génie rural des eaux et forêts[4], il devient chef de service à la direction départementale de l'agriculture de Bordeaux[5]. En 1969 il entre comme attaché parlementaire au cabinet de Jacques Duhamel, ministre de l'agriculture, qu'il suivra en 1971 au ministère des Affaires culturelles, jusqu'à son élection comme député.

Parcours politique

Débuts en Ille-et-Vilaine

Candidat dès 1968, aux élections législatives dans l'ancienne circonscription de son père, à Vitré, Pierre Méhaignerie est battu par le candidat gaulliste, Henri Lassourd, dans le contexte de la vague de soutien au Général de Gaulle qui suit les évènements de . À nouveau candidat en 1973, il bat cette fois-ci le candidat sortant et est élu député. À compter de cette date, et jusque 2007, il est systématiquement réélu au premier tour dans la cinquième circonscription d'Ille-et-Vilaine.

Il se spécialise alors sur les questions agricoles. Il est rapporteur pour avis du budget de l'agriculture et anime à partir de 1975 un groupe de travail sur les « conditions de redéploiement de l'agriculture française », constitué par le Nouveau Contrat social créé par Edgar Faure.

Ministre à plusieurs reprises

Pierre Méhaignerie en tant que ministre de l'Agriculture à Bruxelles (Belgique) en 1979.

En , il entre dans le gouvernement de Jacques Chirac en même temps que Raymond Barre, dont il sera désormais un soutien fidèle. Il est secrétaire d'État puis ministre de l'Agriculture dans le gouvernement Barre II jusqu'à l'élection présidentielle de mai 1981. Aux élections législatives de 1981, il est le député de l'opposition le mieux élu avec 72,5 % des suffrages[6].

Il est élu président du Centre des démocrates sociaux lors du congrès du Versailles, le , face à Bernard Stasi, bénéficiant du soutien de Jacques Barrot au second tour de l'élection. Malgré sa proximité avec Raymond Barre, qui y est fermement opposé[7], Pierre Méhaignerie et le CDS participent au gouvernement de cohabitation de Jacques Chirac en 1986. Après avoir refusé d'être ministre de la Justice[8], il accepte le poste de ministre de l'Équipement, du Logement et de l'Aménagement du territoire dans le second gouvernement de Jacques Chirac entre 1986 et 1988.

Il y crée notamment le premier dispositif de soutien à l'investissement locatif, qui permet aux propriétaires de déduire de leur revenu imposable une partie du montant de leur investissement[9].

À la suite de l'élection présidentielle de 1988, Pierre Méhaignerie décide de faire sécession avec le groupe UDF pour créer le groupe Union du centre, afin de soutenir ponctuellement le gouvernement Rocard[10]. Pierre Méhaignerie préside à la fois ce groupe parlementaire et le CDS.

Il est nommé ministre d'État, garde des sceaux, ministre de la Justice dans le Gouvernement Édouard Balladur (1993-1995). Il instaure notamment durant son ministère un exemple de perpétuité réelle pour les pires cas de meurtre d'enfant.

Il préside le CDS jusque 1994 et l'élection de François Bayrou.

Responsabilités éminentes à l'Assemblée nationale

En 2000, il est condamné pour « recel d'abus de confiance » en raison du financement illégal du CDS, mais bénéficie de l'amnistie.

Il est réélu député pour la septième fois le , pour la XIIe législature (2002-2007), dans la 5e circonscription d'Ille-et-Vilaine. Il rejoint alors le groupe UMP et préside la commission des finances de l'Assemblée nationale de 2002 à 2007, après avoir déjà exercé cette fonction de 1995 à 1997. Il est réélu député le dès le premier tour, avec 52,68 % des voix. Le , il annonce qu'il ne se représente pas lors des élections législatives de 2012[11].

Il devient vice-président de l'UMP en 2007 après en avoir été le secrétaire général de 2004 à 2007. Lors de la crise qui survient au moment de l'élection contestée du président de l'UMP entre François Fillon et Jean-François Copé, il quitte l'UMP et démissionne de ses fonctions politiques le , et annonce qu'il s'engage à l'UDI[12],[13].

Lors de l'élection présidentielle de 2017, il soutient le candidat En marche ! Emmanuel Macron dès le premier tour[14].

Engagement local

En parallèle de cette carrière politique nationale, il participe également fortement à la vie politique locale.

Lors des élections cantonales de 1976, il est élu conseiller général du canton de Vitré-Est et succède ainsi à son père. Réélu lors des cantonales de 1982, il est élu président de l'assemblée départementale. Il occupera cette fonction jusqu'en 2001. À cette date, il décide en effet de ne pas se représenter et laisse sa place à Joseph Prodhomme, élu sous l'étiquette de l'UDF. C'est le conseiller général DVD de Plélan-le-Grand, Marie-Joseph Bissonnier qui lui succède à la présidence du Conseil général.

À la suite de son entrée au conseil général, il devient un an plus tard maire de Vitré lors des élections municipales de 1977. Il est facilement réélu en 1983, 1989, 1995, 2001 et 2008. Son action politique a permis d'accompagner le développement économique et démographique de la ville[15], notamment en faisant pression pour bénéficier d'un arrêt quotidien du TGV lors de sa mise en service en 1989. Tout d'abord président de la communauté de communes du Bocage Vitréen (CCBV), il est à l'initiative de la création de la communauté d'agglomération Vitré Communauté en ayant favorisé la fusion de la CCBV et de la communauté de communes de Châteaubourg[16]. C'est donc logiquement qu'il a été élu président de la communauté d'agglomération lors de sa création le .

Il est élu conseiller régional de Bretagne lors des régionales de 1986. Il quitte son siège au Conseil régional en 1988 à la suite de son retour à l'Assemblée nationale.

En 2013, il se déclare candidat à la mairie de Vitré en vue des élections municipales de 2014[17],[18]. Il est réélu dès le premier tour avec 76,23 % des voix. Il ne se représente pas en 2020 ; Isabelle Le Callennec lui succède.

Détail des fonctions et des mandats

Mandats locaux
  • -  : Maire de Vitré
  • -  : Conseiller général du canton de Vitré-Est
  • -  : Président du conseil général d'Ille-et-Vilaine
  • -  : Conseiller régional de Bretagne
  • -  : Président de Vitré Communauté
Mandats parlementaires
  • -  : Député de la 3e circonscription d'Ille-et-Vilaine
  • -  : Député de la 3e circonscription d'Ille-et-Vilaine
  • -  : Député de la 3e circonscription d'Ille-et-Vilaine
  • -  : Député de la 5e circonscription d'Ille-et-Vilaine
  • -  : Député de la 5e circonscription d'Ille-et-Vilaine
  • -  : Député européen
Fonctions ministérielles
  • -  : Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Agriculture
  • -  : Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Agriculture
  • -  : Ministre de l'Agriculture
  • -  : Ministre de l'Agriculture
  • -  : Ministre de l'Équipement, du Logement, de l'Aménagement du territoire et des Transports
  • -  : Ministre d'État, Garde des Sceaux, ministre de la Justice
Autres fonctions

Distinctions

Ouvrages

  • Pierre Méhaignerie, Aux Français qui ne veulent plus être gouvernés de haut : pour une société de considération, Paris, Plon, 1995, 220 p. (ISBN 2-259-18264-X).

Un second ouvrage, qui devait s'intituler Bretagne, désir d'avenir, n'a jamais paru[21].

Notes et références

  1. Source : La biographie d'Alexis Méhaignerie sur le site de l'Assemblée nationale
  2. voir "Contribution des Archives à l'histoire d'ille-et-Vilaine de 1789 à 1980" - Archives d'Ille-et-Vilaine, nouvelle édition 1981.
  3. Guillaume Garot à l'Agroalimentaire, Le Figaro, 21 juin 2012.
  4. [1]
  5. « M. Pierre Méhaignerie : le benjamin de l'équipe », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  6. « M. Pierre Méhaignerie : un comportement », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  7. Christine Fauvet-Mycia, « "Nous ne sommes pas les "malgré-nous" du gouvernement" », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  8. Favier, Pierre, (1946- ...)., La décennie Mitterrand. 2, Les épreuves : 1984-1988, Paris, Editions Points, dl 2016, cop. 1991, 962 p. (ISBN 978-2-7578-5799-1 et 2757857991, OCLC 941084320, lire en ligne)
  9. « L'entrée en vigueur de la loi Méhaignerie, le pari des loyers libérés », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  10. « La déclaration de l'Union du centre " Gouverner sérieusement " », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  11. Pierre Méhaignerie (UMP) met fin à sa carrière parlementaire, Ouest-France, 7 mars 2012.
  12. Méhaignerie quitte l'UMP pour l'UDI, Le Figaro, 20 novembre 2012.
  13. Pierre Méhaignerie quitte l'UMP pour l'UDI de Jean-Louis Borloo, Le Monde, 20 novembre 2012.
  14. « Présidentielle : l'ancien ministre Pierre Méhaignerie rallie Emmanuel Macron », europe1.fr, 14 avril 2017.
  15. Voir l'analyse dans l'article sur l'économie de la ville
  16. La nouvelle structure a ainsi atteint le seuil des 50 000 habitants nécessaires pour accéder au statut de communauté d'agglomération, conformément à la loi 99-586 du 12 juillet 1999 relative au renforcement et à la simplification de l'intercommunalité.
  17. Municipales 2014. À Vitré (35), Pierre Méhaignerie briguera un 7e mandat, Ouest-France, 18 septembre 2013.
  18. À Vitré, Méhaignerie tient à son fauteuil de maire, Le Figaro, 1er novembre 2013.
  19. « Décret du 29 décembre 2022 portant promotion dans l'ordre national de la Légion d'honneur », sur Journal officiel de la République française,
  20. Légifrance, « Décret du 31 décembre 2013 portant promotion et nomination », (consulté le )
  21. [2].

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Pierre Méhaignerie, sur Wikimedia Commons

Bibliographie

  • Alain-François Lesacher, Samuel Moulin, "Pierre Méhaignerie : 40 ans au carrefour des centres", Rennes, Éd. Ouest-France, 2009, 264 p. (ISBN 978-2-7373-4832-7).

Articles connexes

Liens externes

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v · m
Gouvernement Jacques Chirac I ()
Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Intérieur
Michel Poniatowski, ministre d'État
Secrétaire d'État (6) : Pierre-Christian Taittinger (6)

Jacques Chirac
Premier ministre
(en 1980)
Justice, garde des sceaux
Jean Lecanuet puis ministre d'État (6)
Secrétaire d'État à la Condition pénitentiaire : Hélène Dorlhac
Défense
Jacques Soufflet (dém) (5) puis Yvon Bourges (5)
Secrétaire d'État (5) puis supprimé (8) : Marcel Bigeard (5) puis (dém) (8)
Réformes puis supprimé (1) Jean-Jacques Servan-Schreiber (dém) (1)
Affaires étrangères
Jean Sauvagnargues
Secrétaire d'État : Bernard Destremau
Secrétaire d'État (6) puis supprimé (7) : Jean François-Poncet (6) puis (dém) (7)
Économie et Finances
Jean-Pierre Fourcade
Secrétaire d'État au Budget : Christian Poncelet
Secrétaire d'État à la Consommation (6) : Christiane Scrivener (6)
Éducation
René Haby
Secrétaire d'État à l'Enseignement préscolaire puis supprimé (6) : Annie Lesur (dém) (6)
Coopération Pierre Abelin (dém) (6) puis Jean de Lipkowski (6)
Équipement
Robert Galley
Secrétaire d'État au Logement : Jacques Barrot
Agriculture
Christian Bonnet
Secrétaire d'État (5) : Jean-François Deniau (5) puis (dém) (6) puis Pierre Méhaignerie (6)
Secrétaire d'État aux Industries alimentaires (6) (double tutelle) : Jean Tiberi (6)
Qualité de la vie
André Jarrot (dém) (6) puis André Fosset (6)
Secrétaire d'État à l'Environnement : Gabriel Péronnet puis poste suspendu (4) puis Paul Granet (6)
Secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports : Pierre Mazeaud
Secrétaire d'État au Tourisme : Gérard Ducray (dém) (6) puis Jacques Médecin (6)
Travail
Michel Durafour
Secrétaire d'État aux Travailleurs immigrés : André Postel-Vinay (dém) (3) puis Paul Dijoud (3)
Secrétaire d'État à la Condition des travailleurs manuels (6) : Lionel Stoléru (6)
Santé
Simone Veil
Secrétaire d'État à l'Action sociale : René Lenoir
Industrie et Recherche
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État aux Industries alimentaires (6) (double tutelle) : Jean Tiberi (6)
Commerce et Artisanat Vincent Ansquer
Anciens Combattants Secrétaire d'État : André Bord
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État : Pierre Lelong (dém) (5) puis Aymar Achille-Fould (5) puis (dém) (6) puis Norbert Ségard (6)
Transports Secrétaire d'État : Marcel Cavaillé
Culture Secrétaire d'État : Michel Guy
Commerce extérieur Secrétaire d'État puis ministre (5) : Norbert Ségard puis Raymond Barre (6)
Universités Secrétaire d'État : Jean-Pierre Soisson puis Alice Saunier-Seïté (6)
Départements et Territoires d'outre-mer Secrétaire d'État : Olivier Stirn
Secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement : René Tomasini
Secrétaire d'État à la Fonction publique : Roger Poudonson (dém) (4) puis Gabriel Péronnet (4)
Secrétaire d'État à la Formation professionnelle : Paul Granet puis Jean-Pierre Soisson (6)
Secrétaire d'État, porte-parole du Gouvernement : André Rossi
Secrétaire d'État à la Condition féminine (2) : Françoise Giroud (2)
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Ajustement du
  • (8) Ajustement du
( MESSMER III]) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BARRE I )
v · m
Gouvernement Raymond Barre I ()
Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Économie et Finances
Raymond Barre, Premier ministre
Ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de l'Économie et des Finances : Michel Durafour
Secrétaire d'État au Budget auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Christian Poncelet
Secrétaire d'État à la Consommation auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Christiane Scrivener

Raymond Barre
Premier ministre
Justice, garde des sceaux Olivier Guichard, ministre d'État
Intérieur
Michel Poniatowski, ministre d'État
Secrétaire d'État aux Départements et Territoire d'outre-mer : Olivier Stirn
Plan et Aménagement du territoire Jean Lecanuet, ministre d'État
Affaires étrangères
Louis de Guiringaud
Secrétaire d'État : Pierre-Christian Taittinger
Défense Yvon Bourges
Éducation René Haby
Coopération Robert Galley
Équipement
Jean-Pierre Fourcade
Secrétaire d'État aux Transports : Marcel Cavaillé
Secrétaire d'État au Logement : Jacques Barrot
Relations avec le Parlement Robert Boulin
Agriculture
Christian Bonnet
Secrétaire d'État : Pierre Méhaignerie
Travail
Christian Beullac
Secrétaire d'État aux Travailleurs immigrés : Paul Dijoud
Secrétaire d'État à la Condition des travailleurs manuels : Lionel Stoléru
Santé
Simone Veil
Secrétaire d'État à l'Action sociale : René Lenoir
Industrie et Recherche
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État (1) : Claude Coulais (1)
Qualité de la vie
Vincent Ansquer
Secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports : Jean-Pierre Soisson
Secrétaire d'État au Tourisme : Jacques Médecin
Commerce et Artisanat Pierre Brousse
Commerce extérieur André Rossi
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État  : Norbert Ségard
Anciens Combattants Secrétaire d'État  : André Bord
Culture Secrétaire d'État  : Françoise Giroud
Universités Secrétaire d'État  : Alice Saunier-Seïté
Secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État à la Fonction publique  : Maurice Ligot
Secrétaire d'État  : Antoine Rufenacht
( CHIRAC I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BARRE II )
v · m
Gouvernement Raymond Barre II ()
Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Économie et Finances
Raymond Barre, Premier ministre
Ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Robert Boulin
Secrétaire d'État au Budget auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Pierre Bernard-Reymond
Secrétaire d'État à la Consommation auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances : Christiane Scrivener

Raymond Barre
Premier ministre
Justice, garde des sceaux
Alain Peyrefitte
Secrétaire d'État (4) : Monique Pelletier (4)
Affaires étrangères
Louis de Guiringaud
Secrétaire d'État : Pierre-Christian Taittinger (dém) (3) puis Jean-François Deniau (3)
Intérieur
Christian Bonnet
Secrétaire d'État aux Départements et Territoire d'outre-mer : Olivier Stirn
Secrétaire d'État aux Collectivités locales : Marc Bécam
Défense
Yvon Bourges
Secrétaire d'État puis supprimé (3) : Jean-Jacques Beucler
Coopération Robert Galley
Culture et Environnement
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État au Tourisme : Jacques Médecin
Équipement et Aménagement du territoire
Jean-Pierre Fourcade (dém) (3) puis Fernand Icart (3)
Secrétaire d'État au Logement : Jacques Barrot
Secrétaire d'État aux Transports : Marcel Cavaillé
Secrétaire d'État à l'Aménagement du territoire puis supprimé (2) : Paul Dijoud
Éducation René Haby
Agriculture
Pierre Méhaignerie
Secrétaire d'État : Jacques Blanc
Industrie, Commerce et Artisanat
René Monory
Secrétaire d'État : Antoine Rufenacht
Secrétaire d'État : Claude Coulais
Travail
Christian Beullac
Secrétaire d'État : Lionel Stoléru
Secrétaire d'État : Jacques Legendre
Secrétaire d'État chargé de l’Emploi féminin (4) : Nicole Pasquier (4)
Santé et Sécurité sociale
Simone Veil
Secrétaire d'État : René Lenoir
Secrétaire d'État : Hélène Missoffe
Commerce extérieur André Rossi
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État  : Norbert Ségard
Anciens Combattants Secrétaire d'État  : André Bord puis Jean-Jacques Beucler (3)
Universités Secrétaire d'État puis ministre (4)  : Alice Saunier-Seïté
Secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports Secrétaire d'État  : Jean-Pierre Soisson (dém) (1) puis Paul Dijoud (2)
Secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement  : Christian Poncelet (dém) (3) puis André Bord (3)
Secrétaire d'État à la Fonction publique  : Maurice Ligot
Secrétaire d'État à la Recherche  : Jacques Sourdille
Secrétaire d'État  : Jacques Dominati
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
( BARRE I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BARRE III )
v · m
Gouvernement Raymond Barre III ()
Sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing
Justice, garde des sceaux
Alain Peyrefitte
Secrétaire d'État : Monique Pelletier puis Jean-Paul Mourot (1)

Raymond Barre
Premier ministre
Santé et Famille
puis Santé et Sécurité sociale (3)
Simone Veil (dém) (3) puis Jacques Barrot (3)
Secrétaire d'État : Daniel Hoeffel puis Rémy Montagne (7)
Secrétaire d'État (3) puis supprimé (12) : Jean Farge (3) puis (dém) (12)
Intérieur
Christian Bonnet
Secrétaire d'État aux Départements et Territoire d'outre-mer : Paul Dijoud
Secrétaire d'État aux Collectivités locales puis supprimé (7) : Marc Bécam non remplacé (7)
Affaires étrangères
Louis de Guiringaud (dém) (2) puis Jean François-Poncet (2)
Secrétaire d'État : Olivier Stirn
Secrétaire d'État : Pierre Bernard-Reymond (1)
Défense Yvon Bourges (dém) (7) puis Joël Le Theule (7) puis Robert Galley (9)
Travail et Participation
Robert Boulin puis Jean Mattéoli (5)
Secrétaire d'État à la Formation professionnelle puis changement de ministre de tutelle (7) : Jacques Legendre
Secrétaire d'État aux Travailleurs manuels et Immigrés : Lionel Stoléru
Secrétaire d'État à l’Emploi féminin : Nicole Pasquier
Coopération Robert Galley
Économie René Monory
Budget Maurice Papon
Environnement et Cadre de vie
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État au Logement puis supprimé (7) : Marcel Cavaillé non remplacé (7)
Secrétaire d'État à l'Environnement : François Delmas
Éducation
Christian Beullac
Secrétaire d'État puis supprimé (7) : Jacques Pelletier non remplacé (7)
Universités Alice Saunier-Seïté
Agriculture
Pierre Méhaignerie
Secrétaire d'État : Jacques Fouchier
Industrie
André Giraud
Secrétaire d'État à la Petite et Moyenne Industrie : Jean-Pierre Prouteau
Transports Joël Le Theule puis Daniel Hoeffel (7)
Commerce et Artisanat Jacques Barrot puis Maurice Charretier (3)
Commerce extérieur Jean-François Deniau puis Michel Cointat (7)
Jeunesse, Sports et Loisirs Jean-Pierre Soisson
Culture et Communication Jean-Philippe Lecat (dém) (11) puis Michel d'Ornano (11)
Postes et Télécommunications Secrétaire d'État  : Norbert Ségard puis Pierre Ribes (8)
Anciens Combattants Secrétaire d'État  : Maurice Plantier
Ministres délégués et secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Ministre délégué chargé de la Condition féminine (1) puis ministre délégué chargé de la Famille et de la Condition féminine (6) : Monique Pelletier (dém) (11) puis Alice Saunier-Seïté (11)
Ministre délégué chargé des Réformes administratives (7) : Jean-François Deniau (dém) (11) puis Raymond Barre (11)
Ministre délégué (8) puis supprimé (10) : Norbert Ségard
Secrétaire d'État  : Jacques Dominati
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement  : Jacques Limouzy
Secrétaire d'État à la Recherche  : Pierre Aigrain
Secrétaire d’État chargé des Industries agricoles et alimentaires (4)  : Michel Debatisse (4)
Secrétaire d'État chargé de la formation professionnelle (7)  : Jacques Legendre
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Remaniement du
  • (8) Remaniement du
  • (9) Remaniement du
  • (10) Modification du
  • (11) Remaniement du
  • (12) Modification du
( BARRE II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MAUROY I )
v · m
Gouvernement Jacques Chirac II ()
Sous la présidence de François Mitterrand
Économie, Finances et Privatisation
Édouard Balladur, ministre d'État
Ministre délégué chargé du Budget : Alain Juppé, porte-parole du gouvernement
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur : Michel Noir
Ministre délégué chargé de la Privatisation, puis supprimé (2) : Camille Cabana
Ministre délégué chargé du chargé du Commerce, de l'Artisanat et des Services (1) : Georges Chavanes (1)
Secrétaire d'État chargé de la Consommation et de la Concurrence (4) puis chargé de la Consommation et de la Concurrence et de la Participation (7) : Jean Arthuis (4)

Jacques Chirac
Premier ministre
Justice, garde des sceaux Albin Chalandon
Défense
André Giraud
Secrétaire d'État (1) : Jacques Boyon (2)
Culture et Communication
François Léotard
Secrétaire d'État : Philippe de Villiers (dém) (5) puis André Santini (6)
Affaires étrangères
Jean-Bernard Raimond
Ministre délégué chargé des Affaires européennes (2) : Bernard Bosson (2)
Secrétaire d'État : Didier Bariani
Intérieur
Charles Pasqua
Ministre délégué chargé de la Sécurité : Robert Pandraud
Secrétaire d'État chargé des Collectivités locales puis ministre délégué (2) : Bernard Bosson puis Yves Galland (2)
Équipement, Logement, Aménagement du territoire et Transports
Pierre Méhaignerie
Ministre délégué chargé des Transports : Jacques Douffiagues
Ministre délégué chargé de l'Environnement : Alain Carignon
Départements et Territoires d'outre-mer
Bernard Pons
Secrétaire d'État chargé des Problèmes du Pacifique Sud : Gaston Flosse
Éducation nationale
René Monory
Ministre délégué chargé de la Recherche et de l'Enseignement supérieur : Alain Devaquet (dém) (3) puis Jacques Valade (4)
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement : Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État chargé de la Formation professionnelle : Nicole Catala
Affaires sociales et Emploi
Philippe Séguin
Ministre délégué chargé de la Santé et de la Famille (1) : Michèle Barzach (1)
Secrétaire d'État chargé de la Sécurité sociale : Adrien Zeller
Secrétaire d'État, puis supprimé (4) : Jean Arthuis
Industrie, P. et T. et Tourisme
Alain Madelin
Secrétaire d'État chargé des P. et T. puis ministre délégué chargé des P. et T. (2) : Gérard Longuet
Secrétaire d'État chargé du Tourisme (1) : Jean-Jacques Descamps (1)
Agriculture François Guillaume
Coopération Michel Aurillac
Relations avec le Parlement André Rossinot
Anciens Combattants Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants : Georges Fontès
Rapatriés Secrétaire d'État chargé des Rapatriés : André Santini
Mer Secrétaire d'État chargé de la Mer : Ambroise Guellec
Ministre délégué et secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Ministre délégué chargé de la Fonction publique et du Plan : Hervé de Charette
Ministre délégué chargé de la Réforme administrative (2) puis ministre délégué chargé des Rapatriés et de la Réforme administrative (6) : Camille Cabana
Secrétaire d'État chargé de la Francophonie : Lucette Michaux-Chevry
Secrétaire d'État chargé des Droits de l'homme : Claude Malhuret
Secrétaire d'État chargé de la Jeunesse et des Sports : Christian Bergelin
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Ajustement du
( FABIUS) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (ROCARD I )
v · m
Gouvernement Édouard Balladur ()
Sous la présidence de François Mitterrand
Affaires sociales, Santé et Ville
Simone Veil, ministre d'État
Ministre délégué à la Santé : Philippe Douste-Blazy, porte-parole du Gouvernement à partir du 19 janvier 1995 (4)

Édouard Balladur
Premier ministre
Intérieur et Aménagement du territoire
Charles Pasqua, ministre d'État
Ministre délégué à l'Aménagement du territoire et aux Collectivités locales : Daniel Hoeffel
Justice, garde des sceaux Pierre Méhaignerie, ministre d'État
Défense François Léotard, ministre d'État
Affaires étrangères
Alain Juppé
Ministre délégué à l’Action humanitaire et aux Droits de l’homme : Lucette Michaux-Chevry
Ministre délégué aux Affaires européennes : Alain Lamassoure
Éducation nationale François Bayrou
Économie Edmond Alphandéry
Industrie, Postes et Télécommunications et Commerce extérieur Gérard Longuet (dém) (2) puis José Rossi (2)
Équipement, Transports et Tourisme Bernard Bosson
Entreprises et Développement économique, Petites et moyennes entreprises, Commerce et Artisanat Alain Madelin
Travail, Emploi et Formation professionnelle Michel Giraud
Culture et Francophonie Jacques Toubon
Budget Nicolas Sarkozy, porte-parole du Gouvernement jusqu'au 19 janvier 1995 (4)
Agriculture et Pêche Jean Puech
Enseignement supérieur et Recherche François Fillon
Environnement Michel Barnier
Fonction publique André Rossinot
Logement Hervé de Charette
Coopération Michel Roussin (dém) (3) puis Bernard Debré (3)
Départements et Territoires d'Outre-mer Dominique Perben
Jeunesse et Sports Michèle Alliot-Marie
Communication Alain Carignon (dém) (1) puis Nicolas Sarkozy (1)
Anciens Combattants et Victimes de guerre Philippe Mestre
Ministres auprès du Premier ministre
Ministre délégué aux Relations avec l’Assemblée nationale : Pascal Clément
Ministre délégué aux Relations avec le Sénat, chargé des Rapatriés : Roger Romani
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement des et
  • (3) Remaniement du
  • (4) Ajustement du
( BÉRÉGOVOY) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (JUPPÉ I )
v · m
Ministres français de la Justice (depuis 1871)
IIIe République
(1870-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
Gouvernement provisoire
(1944-1946)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis 1959)
  • Ministère de la Justice
  • Ministre de la Justice
v · m
IIIe République
(1871-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis 1959)
v · m
Présidents du MRP (19441967)
Président du Centre démocrate (19661976)
Présidents du CDS (19761995)
Composante de l'UDF à partir de 1978
Président de Force démocrate (19951998)
Composante de l'UDF
Présidents de l'UDF (19782007)
Président du Nouveau Centre puis de Les Centristes (2007–)
Composante de l'UDI de 2012 à 2017
Président du MoDem (2007–)
Président d'Avenir démocrate (2008–2010)
a rejoint Les Centristes
Président de l'Alliance centriste (2009–)
Composante de l'UDI de 2012 à 2017
Président de la FED (2012–)
Composante de l'UDI à partir de 2012
Président de l'UDI (2012–)
v · m
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Présidents
Vice-présidents
Secrétaires généraux
Congrès
Courants
Organismes associés
Groupes parlementaires :
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